Top 15 des plus hautes montagnes en France
Le classement des plus hautes montagnes de France. Elles sont toutes situées dans le massif des Alpes, en Savoie ou haute-Savoie.
👉 Source : Ces informations nous sont données par Skidata.io, le comparateur des 232 stations en ski en France.
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Le Mont-blanc (4810 mètres)
Situé entre la France et la Vallée d’Aoste italienne, le Mont-blanc représente le toit de la France comme de l’Europe de l’Ouest en général.
Ce sommet, demeuré longtemps inaccessible (avec une première ascension en 1786) est depuis quelques années devenu l’objet du défi physique, avec aujourd’hui deux à trois mille personnes qui s’essaient de le gravir chaque année.
Devenues destinations touristiques, les vallées du Mont-Blanc sont aménagés de manière à offrir sécurité et confort suite à l’effort aux touristes souhaitant se rendre dans la superbe région de Chamonix.
Certains émettront peut-être des critiques sur la massification du tourisme dans la région. Pour notre part, nous considérons comme chose positive son accessibilité au plus grand nombre. En effet, il était naguère impossible aux masses de s’y rendre si bien que mythes et superstitions entouraient ce sommet.
Ainsi, les habitants de la région crurent longtemps que la reine des fées, «la Déesse Blanche», y avait élu résidence. On attribuait avalanches et autres catastrophes naturelles à son indisposition.
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Les grandes Jorasses (4208 mètres)
Également situé dans le massif du Mont-Blanc, ce sommet culmine certes moins haut que le Mont-Blanc mais le gravir sur sa face Nord, c’est-à-dire dans sa partie française s’avère une entreprise tout aussi difficile.
Son ascension est donc réservée aux cordées entraînées et expérimentées ou aux aventuriers solitaires intrépides.
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L’aiguille Verte (4122 mètres)
Encore situé dans le massif du Mont-Blanc, ce sommet propose une superbe vue sur les vallées de la région.
Atteindre son sommet, en forme d’aiguille, n’est accessible qu’aux randonneurs les plus expérimentés car une fois arrivé en haut, la descente s’avérera quasiment plus difficile que la montée.
Il faut faire bien attention à repartir tôt car la journée avançant les risques de petites avalanches se font plus nombreux.
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Barre des écrins (4102 mètres)
Cette fois-ci située dans le Dauphiné, c’est le plus haut sommet de toute la Savoie. Le col finit en arrête superbe, ponctuée de trous qu’il s’agit d’éviter.
Son ascension par la voie normale du dôme de neige est bien plus aisée que la traversée des chemins menant aux sommets des trois sommets précédents. Admirer les réflexions du soleil encore bas sur la neige immaculée est un expérience unique.
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Le Meije (3983 mètres)
Cette montagne, située dans le massif des Écrins, est constituée de trois sommets principaux, culminant tous à plus de 3900 mètres.
La diversité des voies d’accès en font une des favorites des alpinistes. L’ascension jusqu’au grand pic du Meije est une des plus difficiles des Hautes Alpes.
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Ailefroide (3954 mètres)
Situé aussi dans le massif des Écrins, ce sommet est accessible par une route traversant le village éponyme.
Celui-ci est constitué de chalets ravissants et pittoresques qui en font une destination touristique de choix.
Cette montagne est célèbre dans le milieu de l’alpinisme par ses traversées d’arête qui constituent des obstacles mais ajoutent grandement à la beauté de la traversée.
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Mont Pelvoux (3946 mètres)
Ce sommet des Écrins ne laisse personne indifférent par son aspect ultra-caillouteux et neigeux. Situé au-dessus de la commune de Pelvoux, ce sommet fut longtemps la plus haute montagne de France avant que la Savoie ne fût annexé en 1860.
Son accenssion est accessible uniquement aux alpinistes les plus chevronnés.
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Pic sans nom (3913 mètres)
Situé aussi dans les Écrins, encore plus caillouteux que le Mont Pelvoux, cette ascension est réservée aux très expérimentés.
De nombreux itinéraires permettent d’y accéder; tous sont variés, contenant tantôt des dalles de granite tantôt une neige immaculée à perte de vue. A noter, que la descente par la voie principale d’accès est considérée comme extrêmement périlleuse.
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Aiguille d’argentière (3901 mètres)
Situé dans le massif du Mont-Blanc, proche de la frontière suisse sur le canton du Valais, ce sommet est célèbre pour son glacier de Saleina, qui impressionne par son étendue de plus de six kilomètres de longueur.
La nature s’offrant à celui qui souhaite y accéder est très diverse: glace, rocher, neige, formes naturelles d’arête très esthétiques.
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Grande Casse (3855 mètres)
Situé en Savoie, un peu au Sud de la station de Tignes, dans le massif de la Vanoise, toujours dans les Hautes-Alpes. Ce sommet est apprécié des alpinistes par la diversité des voies d’accès empruntables comme pour ses glaciers impressionnants.
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La Grande Sassière (3747 mètres)
L’aiguille de la Grande Sassière se trouve en Savoie. Elle permet de faire de l’exercice de manière très intense tout en étant plus accessible que là-plupart des sommets de cette hauteur.
En effet, on peut éviter totalement son glacier ce qui dispense de l’utilisation d’équipements spécialisés.
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La pointe de Ronce (3612 mètres)
Là encore situé en Savoie, ce sommet culmine au sommet du massif du Mont-Cenis. Il est notamment caractérisé par la présence de glaciers magnifiques. Son sommet est relativement découvert, et compte de nombreux cailloux en été.
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L’Albaron (3637 mètres)
Accéder à ce sommet permet d’avoir une vue privilégiée sur certains des plus beaux sommets de la région: le Mont-Blanc, la Vanoise… A noter qu’il est accessible en ski de randonnée, mais uniquement pour les alpinistes ayant l’expérience néséssaire.
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Le barrhorn (3610 mètres)
Seul sommet des alpes balisé de cette hauteur, il permet une première approche relativement accessible de la très haute montagne. Il est préférable de le monter avec un guide, et les équipements adéquats.
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L’ouille d’Alberon (3563 mètres)
De magnifiques lacs s’offrent à la vue des courageux qui tentent cette ascension. Il est prudent d’entreprendre une montée quand son arrête est sèche. A noter que le refuge d’Averole vous permettra de faire un stop avant datteindre le sommet.
C’est n’importe quoi cet article ! Vous mettez la Barre des Ecrins en 4e place alors qu’elle est au moins 10e ! De plus, vous dites que la Barre des Ecrins est un sommet savoyard, alors que pas du tout ! C’est le point culminant du département de l’Isère ! Et la Grande Casse, elle, est le point culminant de la Savoie. Je vois donc que vous avez zappé un nombre incalculable de sommets de Haute-Savoie notamment. Je vais donc être dans l’obligation de faire un vrai classement pour que vous puissiez changer votre copié-collé de wikipédia mal interprété ! En premier le Mont Blanc, pas d’erreur de votre part encore heureux. En deuxième place vous rajouterez le Mont-Blanc de Courmayeur qui est quand même à 4748 m, il est quand même débile de passer à côté… En 3e arrive le Mont Maudit, 4465m, puis le Dôme du Gouter, 4304 m, le Mont Blanc du Tacul, 4248m, enfin, les Grandes Jorasses, non pas en 2e position mais bien en 6e place ! Avec 4208 m. Ensuite l’Aiguille Verte, 4122m. Ensuite viennent les Aiguilles du Diable, il y en à 5, avec l’Isolée à 4114m et la plus basse, la Corne du Diable à 4064m. Puis la Grande Rocheuse, à 4102m. Tous ces sommets sont dans le massif du Mont-Blanc, côté Haut-Savoyard. Et enfin, arrive la fameuse Barre des Ecrins à 4102. Et après ce n’est pas la Meije, mais bien le Dôme des Ecrins à 4009m. Bref, tout ça pour dire que votre article est truffé d’erreurs énormes ! Vous désinformez les gens alors vous me ferez le plaisir de corriger votre torchon avec les infos que j’ai écris dans ce commentaire histoire d’être un peu plus crédible et de moins énerver les alpinistes et les gens qui s’y connaissent un minimum en montagne !
Cordialement,
Un alpiniste révolté!
Bonjour, Merci pour vos retours.
Je vais faire la modification.